L’exposition explore l’Amazonie au-delà des clichés de la simple forêt exotique. Elle met en dialogue collections historiques et œuvres contemporaines d’artistes autochtones, afin de révéler la vitalité culturelle des peuples amazoniens : cosmologies, peinture corporelle, danse, graphisme, langue, art visuel — plus de 200 objets, vidéos et installations pour repenser notre regard occidental. 

My Name is Orson Welles — Rétrospective à la Cinémathèque française

Biennale Némo 2025 — Les Illusions retrouvées

Jacques-Louis David — Rétrospective au Musée du Louvre

Cette exposition retrace l’élan créatif foisonnant de la École de Paris — ce mouvement multiple, cosmopolite et artistique qui fait de Paris le moteur de l’avant-garde au début du XXᵉ siècle. Grâce à plus de 130 œuvres majeures issues de la collection de Marek Roefler, on découvre comment des artistes venus de toute l’Europe ont participé à la métamorphose de l’art moderne, oscillant entre post-impressionnisme, cubisme, expressionnisme et fauvisme. L’exposition investit un lieu emblématique — Montmartre — et invite à ressentir l’énergie collective de cette époque où tout semblait possible. .

 

Entre exposition et performance, cette saison de « Dans(e) la lumière » explore le pouvoir de la lumière comme matière artistique et le corps comme vecteur d’émancipation. Découvrez des œuvres issues de la collection de la Fondation EDF, dialoguant avec des créations chorégraphiques et urbaines, pour une expérience visuelle, sensorielle et politique. 

Melvin Edwards — Carte blanche au Palais de Tokyo

Plongez au cœur d’un style qui a marqué l’histoire — du mobilier sculptural aux bijoux précieux, des affiches aux objets de mode — près de 1 000 œuvres réunies pour célébrer le centenaire de la grande rupture esthétique de 1925. Au fil des collections du musée, laissez-vous emporter par le luxe, la rigueur et la modernité de l’art déco, jusqu’à la spectaculaire installation « Orient-Express » qui clôt le parcours. 

Festival Signes d’Automne 2025 — Danse à Paris

Exposition Générale — Fondation Cartier pour l’art contemporain

Cette première grande rétrospective française (plus de 130 œuvres) met à l’honneur le peintre finlandais Pekka Halonen (1865-1933), figure-clé de l’art finnois et disciple de Paul Gauguin. Depuis ses études à Paris jusqu’à son atelier au bord du lac Tuusula, Halonen a chanté par ses paysages, ses hivers silencieux et ses forêts immergées, une nature à la fois brute et métaphorique. L’exposition mêle esprit nordique, lumière diffuse, et techniques influencées par le plein-air, le japonisme et le symbolisme. 

Cette exposition retrace la genèse artistique de la célèbre galerie peinte par Annibale Carracci, Agostino Carracci et leurs élèves à Rome à la toute fin du XVIᵉ siècle. Vous découvrirez pour la première fois réunis les dessins préparatoires majeurs, révélant le geste, l’émulation fraternelle, et le passage de l’idée à la fresque monumentale. Une scénographie immersive vous transporte au cœur du projet, comme si vous assistiez à sa mise-en-œuvre.

Cette exposition au Musée Cernuschi explore le voyage des lettrés chinois entre 1786 et 1955, à travers leurs découvertes archéologiques — vases rituels, inscriptions gravées — et comment ces « empreintes » ont ensuite alimenté une révolution visuelle : estampage, collage, peinture moderne. Une courbe entre héritage millénaire et innovation esthétique. 

Cet hiver, laissez-vous porter dans une promenade immersive à travers le jardin du Muséum : plantes phosphorescentes, créatures bioluminescentes, minéraux scintillants… Le parcours « Lumières de la nature » explore comment la lumière naît, dans la nature, dans le ciel, sous l’eau — un spectacle autant scientifique qu’enchanteur. 

Cette exposition dévoile une facette méconnue du génie de Victor Hugo : non seulement écrivain mais aussi décorateur-designer de ses intérieurs et de ceux de son entourage. On y découvre ses esquisses pour meubles, panneaux peints, tissus, objets et aménagements, de ses appartements parisiens à sa maison à Guernesey. L’exposition montre comment Hugo conçoit le décor comme prolongement de son œuvre, mêlant poésie, brocante, objets trouvés et architecture intérieure.

Pour la première fois à Paris, cette grande rétrospective consacre l’œuvre visionnaire de M.C. Escher, véritable icône du paradoxe visuel. À travers plus de 200 œuvres originales — gravures, dessins et installations immersives — l’exposition plonge dans les jeux d’échelle, les escaliers sans fin, les pavages, les reflets et les métamorphoses que l’artiste néerlandais a déployés entre art, géométrie et philosophie. Une belle occasion de voir comment son esthétique exerce une influence majeure sur le design, le graphisme et même le cinéma contemporain. 

L’exposition explore les liens inattendus entre le sculpteur Ossip Zadkine et le mouvement Art Déco. À travers plus de 90 œuvres — sculptures, objets, mobilier — l’événement met en lumière la façon dont Zadkine a, dans les années 1920-30, expérimenté la couleur, la laque, la dorure et collaboré avec des grands décorateurs comme Eileen Gray ou André Groult. Le parcours révèle un artiste « hybride » entre cubisme et décoration d’intérieur. 

L’artiste Meriem Bennani transforme la structure de la Fondation Lafayette Anticipations en vaste instrument de rythmique : près de deux cents tongs et claquettes orchestrent une composition sonore entre manifestation collective, fête urbaine et cérémonie marocaine « dakka ». Une invitation à ressentir l’union, le mouvement, l’individu dans le collectif. 

Dans Ciel clair / Eaux troubles, l’artiste américaine Steffani Jemison interroge les forces invisibles — gravité, vent, éclipse, mémoire — pour révéler comment nos trajectoires sont façonnées, freinées ou libérées. Elle croise l’histoire des révoltes afro-américaines à des phénomènes naturels et propose une présence incarnée, un mouvement improvisé, une cartographie du devenir. 

Cette exposition invite à explorer l’une des créatures les plus puissantes de l’imaginaire humain : le dragon. Depuis les premières apparitions en Asie de la créature-serpent jusqu’aux incarnations graphiques des mangas, films et installations contemporaines, l’évènement retrace environ 5 000 ans d’histoire culturelle et artistique. Conçue en collaboration avec le Musée national du Palais de Taipei à Taïwan, elle met en lumière comment le dragon, symbole à la fois de puissance, de sagesse et de transformation, traverse les âges et les continents. 

Cette exposition explore le chemin exigeant de la création à travers quatre figures majeures : Pierre Alechinsky, Honoré de Balzac, Pablo Picasso et Auguste Rodin. Du travail acharné de Balzac à la multiplicité des essais de Rodin, en passant par la reprise infinie d’Alechinsky et les variations de Picasso, l’exposition invite à regarder derrière le chef-d’œuvre — vers la tension, la répétition, la bifurcation du geste créatif. 

L’exposition réunit une centaine d’œuvres majeures de Magdalena Abakanowicz — sculptures monumentales, installations textiles, dessins et photographies — pour éclairer son questionnement sur le corps-métaphore, la collectivité, l’absence et la présence. Présentée pour la première fois à cette échelle en France, elle invite à sentir la matière, à se déplacer parmi les formes et à entendre le silence des figures humaines creusées, tissées, suspendues.